Monday, March 31, 2008

 

stardust

J'arrive pas vraiment a dormir, pour changer.
Ca se passe toujours un peu comme ça, essayer de moins dormir pour être fatigue, et ne jamais l'être, au moment qu'il faut.

Fatigue partout, sauf au lit.
C'est un peu une autre ligne de vie. Quelques années a peu dormir.. Des années que je n'oublierai jamais, mon corps en tout cas.

Pourtant, le sommeil est quelque chose que je recherche plus que tout. Finalement se déconnecter, partir...

Partir dans son monde, celui qui ne vous déçoit jamais. Le monde du rêve, le monde de l'oublie, le monde de l'inexistence et de la sur-existence.

Un monde qu'on crée, qu'on façonne, qu'on découvre au jour le jour. On change toutes les nuits. Fondamentalement toujours les memes, mais toujours différents.
On rêve de ce qu'on a pas, de ce qu'on est pas, de ce qu'on voudrait être, ce qu'on a été.

On rêve de fin du monde, de paradis, de guerres, d'amour, de haine. On s'en délecte.
On dit souvent qu'on est déçu lorsqu'on se réveille, de comprendre que ce n'était qu'un rêve. Avoir la sensation dans un rêve utilise pourtant les memes sens que dans la vie éveillée. Demandez vous pourquoi vous pissez dans votre lit quand on est jeune. Pourquoi les mecs se réveillent en étant mouille et collant. Meme histoire, le petit coquin s'est bien amuse.

Je contrôle un peu mes rêves depuis que je suis tout jeune, je me souviens encore de mon dernier vrai cauchemar, c'était quand j'avais genre 5 ans. Mon père avec un couteau dans le torse. C'était le dernier. Depuis, j'ai l'heureuse chance de faire des rêves lucides, depuis que je suis tout jeune. Au fur et a mesure on commence a les contrôler, a faire ce qu'on veut. On crée ce qu'on l'aime par dessus tout.

L'éternel moi.

L'éternel devenir, l'éternelle non déception. Vous pourriez dire lâche, mais au fond on pense tous qu'a ça. L'éternel miroir. Égoïsme, je t'aime.

Alors fermez les yeux, laissez vous bercer par morphee, et puis vivez.

La vie éveillé est notre éternel cauchemar. Je ne suis pas seul. Je suis.
Maintenant, je retourne rêver du rêve éternel, seul.
Je rêve un peu de changer ça aussi, hin?

We are just stardust.

Friday, March 21, 2008

 

Oblivion again.

Je suis un peu con, aveugle et con.
J'aime ça.
J'ai beau essaye mais ça veut pas.
Aujourd'hui était la dernière hin?
Je demande juste une once de respect, la seule chose due.

I convinced myself I hadn't seen anything, ... I had done this many times before ... I was adept at erasing reality.

Reality is that which, when you stop believing in it, doesn't go away.

J'osais espérer que c'était un rêve.
Wake up now.
Wake up.

Wednesday, March 19, 2008

 

System layers

Fermez les yeux, respirez.
Laissez vous emporter par les sons.
Le silence.
La tempête.
Fermez les yeux jusqu'à trembler.
Sentez cette impression.
L'impression de vivre.
De mourir.
Encore et encore.
Fermez les yeux, écoutez.
Imaginez, c'est votre plus grand pouvoir, de vous évader.
Au loin, en vous, la bas.
Sentez la encore, et encore.
Ballote, transporte, transcende, apaise.
Vivre.
Le son d'une note, violente.
Douce.
Et puis le silence, la plus belle note, le plus beau regard.
Ecoutez.
Vous êtes mort, et je suis vivant.


Boarf, écrit les yeux fermes en 1 min, pas retouche, pas de rires! :P

Monday, March 10, 2008

 

Walking thoughts

Il est la, en train de se demander quoi foutre, comme d'habitude. Ce qui est bon, c'est qu'il aime ca.

J'aimerais fermer les yeux et voir les mots défiler, sans s'arrêter. Dire tout et n'importe quoi. Ce qui compte, c'est que ca sorte.

Dernièrement j'en suis venu a me poser encore une fois des questions. Avoir l'impression de toujours avoir tord et de toujours mal s'y prendre, sans s'en rendre compte.

Evidemment j'ai envie de parler de ce qui s'est passe depuis le début de l'année mais je ne saurais tellement que dire que j'ai même pas la motivation de me lancer.

Une deux, une deux. Non.

Allez. Le rideau est tombe. Mesdames et messieurs, accrochez vous, laissez moi vous conter... ce qui viendra.

Encore une fois, ça n'a mené a rien, je sais pas pourquoi ça bloque toujours. Quand je dis bloque, je cache pas mes mots. C'est comme si mon inner moi cessait d'exister pour ne laisser qu'une bride de jean-guillaume, fantôme. C'est la deuxième fois, sur deux oui, qu'on me dit que je suis différent en vrai. Sans dec. Le pire c'est que je le sais et que j'ai beau tout faire, j'ai l'impression d'être complètement sans voix, sans forces, sans moyens. Je tombe toujours sur du complique. Même histoire, deux fois. Je pensais que c'était mieux que la dernière, mais c'est bien pire. Et j'ai rien fait pour changer ca. Je sais pas si je suis complique ou juste débile, ou juste complètement a l'ouest.

Now it's over. Quasiment depuis le lendemain je fais le deuil, sachant ma connerie, mais ayant toujours espoir. Espoir qu'un jour je puisse être joint dans un délire relationnel. C'est a ça que je m'accroche, pas a la personne en soi. Histoire d'ego.

N'est-ce pas toujours le cas de toute façon?
Ego.

Le mien est pas mal doomed, je m'en fais pas. La confiance vole a nouveau au dessus de zéro. C'est toujours marrant que ce soit la personne qui vous le remonte, qui vous le démonte. Ho je me suis bien aide, pas de doutes.

Maintenant, on est passe dans la phase finale, j'ai envie de la claquer, méchamment. Me faire trainer dans la merde ca va deux secondes. Elle pense peut être pareil de son cote, sauf qu'au moins elle arrive a s'en foutre.
Wake up, sérieux.
Le rideau est tombe. Et now j'ai bien plus peur qu'avant. J'en rigole. Moving on.

Comme dirait pauline, me faut une amelie poulain. Une fille aussi perdue que moi. Perdue n'est pas compliquée, non.

J'aimerais bien avancer de 10 ans, ça serait tellement mieux. Je dis pas que je suis mature ou autre, mais une fille posée me ferait du bien.

Bref, histoire ancienne.

A part ça que dire, je me suis trouve un groupe de potes, ça fait du bien. J'en profite pour une fois, sachant que tout le groupe part en même temps en france. Ca fait mal alors je vais essayer d'en tirer le meilleur parti.
Pour une fois que je suis motive a bouger, a avoir des projets, sur du long terme. Sans eux je serais encore en train de me morfondre sur la sous merde que je suis.

Je sais aussi qu'en juillet je suis de retour a la case zero, avec encore moins de chose qu'en janvier, revenant de deux mois de vacances avec tous mes potes...
Mon dieu que ces deux mois de vacances vont être difficiles, et ne parlons pas de la session prochaine ou je suis toujours pas arrive a me faire des potes en dehors du cercle habituel. C'était si parfait.

J'aimerais bien qu'on vienne me chercher et que j'ai rien a faire, ce serait tellement simple, lâche en soi, mais tellement appréciable. Comme je l'ai dit il y'a longtemps, j'attends toujours que mes couilles descendent, ou remontent, whatever.

Je sais pas trop ou je vais sinon, mes études me plaisent et je pense que je suis sur la bonne voie. Seulement je sais pas trop ou je me vois plus tard. Vivre dans l'art serait tellement bon mais parait malheureusement pas mal difficile.

Ambition mais pas de courage, c'est un peu ma devise. C'est un peu pathétique, j'en suis conscient.

J'aimerais bouger mon cul mais y'a toujours cette barrière qui semble m'en empêcher. Dois-je attendre ou pas qu'elle s'abaisse ou dois-je plutôt la franchir? L'une est safe, naze et l'autre est tendue.

J'arrive a me complaire dans tout ca, c'est le pire.

En plus aujourd'hui j'apprends que mes deux meilleurs potes se sont disputes, mettant en péril mon voyage en france. J'aurais tellement pas la motive d'y aller si c'est pour qu'ils se fassent la gueule sur une soirée orchestrée par la drogue et donc débile. J'aimerais bien mettre une petite claque aux deux, je prendrai pas de parti, je suis pas la pour ca, je me fiche de savoir qui est dans le tord ou pas. La encore c'est mon ego qui parle, je vous qui soient la pour moi. Est-ce si mal que ca.
J'ai besoin de ca.

J'aimerais tant aussi commencer a finalement ce que j'ai toujours voulu faire, écrire quelque chose. A la lynch peut être, écrire sans se soucier d'une ligne déjà faite. Avancer et avancer, pour arriver a quelque chose, ou pas. Quelle importance. Ecrire sans se relire, comme toujours.

Bref, le rideau est finalement vraiment tombe, ne m'oubliez pas derrière. Ne t'oublies pas.

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