Wednesday, April 30, 2008

 

California

Deja, deux heures de retard sur le premier vol, on se dit : merde, pas cool pour la connexion! Bah wai, deux heures... On va arriver apres l'enregistrement etc donc on flippe. Pis les valises, ha bah wai les valises. Bref flippe.

Donc hop on atterit a Chicago et donc on pique un sprint assez enorme pour arriver jusqu'a notre terminal, pour arriver pile quand nos places etaient appellees. Moule.
On a rien vu du tout de Chicago du coup!

On arrive a SF pour ne pas trouver nos valises... Heuresement, on s'y etait prepare a l'avance donc pas tant que ca surpris. On a juste attendu le prochain vol et hop on les avait toutes sauf une, retrouvee aujourdhui par l'aeroport :P

Sinon SF c'est grand et c'est beau.

Bon on est loge dans un quartier avec des gangs et gens bizarres partout mais bon c'est fun. (ON FLIPPE SA MERE). Mais on y est jamais tres longtemps.

Ce matin on est parti pour une journee avec plus de 10km de marche, sous le soleil (je ressemble a un clown). On a traverse des quartiers vraiment excellent, super beau et qui donnent envie d'habiter ici (apres s'etre marie avec une riche vieille).

Le chinatown est heu, chinois comme jamais.
Les vues sur la baie de SF sont impressionantes et il nous tarde d'etre demain pour visiter encore! (en marchant moins ceci dit...).

Bref ca commence super bien et ca augure que du bon, la meteo est en plus avec nous (Bon il fait frais mais bon).


La je suis dans une auberge de jeunesse et donc je profiterai dun autre temps libre pour rediger quelque chose !

Ps : desole pour toute les fautes mais jai pas d'accents a dispo et le eee a pas de trad en fr!

Monday, April 28, 2008

 

road trippin

California dreamin!
yay!


Waow j'avais pas vu mais ce blog a plus de trois ans! Loule.
Dommage pour vous, vous ne voyez qu'un tiers de ce que j'écris :p

Sunday, April 27, 2008

 

don't be afraid

Parce que tout a un sens.
Parce que rien ne vaut.
Je vis dans l'incertitude.
L'incertitude de vivre, de mourir.
Je vis, en gros.
Triste et fou en même temps.
Entre joie et deception, ne jamais trouver.
Sa voie, son parcours, sa destinée.
A jamais s'oublier.
Car on aime ça.
Jamais réaliser.
Et tout oublier.
Le ça.
éternellement se prendre.

Dans rien, dans tout.
Rever, oublier.
Vivre, profiter.
couter, ignorer.
Se laisser bercer, se laisser oublier.
A jamais se dire.
que rien n'est perdu
que tout est possible
Tout est possible.
Faut juste fermer les yeux.
Et les ouvrir, pour ne plus jamais vivre.
Derrière les collines, derrière les mots.
Derrière ses yeux fermes.
Se laisser bercer, par le rythme inlassable.
Le rythme de la vie.
De sa vie.
Qu'on s'écrit.
Pour se perdre.
Pour se retrouver.
Et ne jamais.
Jamais.
S'oublier.
Car on vit.
Dans ce qu'on se construit.
Dans ce qu'on crée.
Se complaire.
Se plaire.
Se laisser aller.
Et tout oublier.

Ps : mon dieu je me souviens pas avoir écrit :X

Tuesday, April 22, 2008

 

The devil.

Mon dieu que c'est ridicule. Ou ça ne l'est peut-être pas.
Si en fait, obligé.

J'ai pas mal parlé à la fille qui me plait, bourré certes (pour changer..). J'aimerais bien lui plaire, sauf que j'ai aucune idée si c'est le cas, j'ai tellement pas l'impression que ça l'est..
Pourtant elle me parle etc, mais je peux être parano à cause de l'alcool...
Faudrait se bouger. J'en ai vraiment envie.

Moi, me cherchant des histoires, des excuses, des envies.
Moi, craquant encore une fois.
Moi. Faisant le moi.

La vie est dure, quand on essaye jamais rien.
Le pire, c'est d'en être conscient.
Prendre son courage à deux mains.
Peut-être.
Pour faire plaisir à l'éternel.
L'éternel Moi.
L'éternel insatisfait.
L'éternel passivité.

Je suis un spectre.

Thursday, April 17, 2008

 

Nothing else

Je ne sais pas quoi dire mais est-ce bien la l'important.
Le sens mène notre vie insensée.
Ecrire des mots sans se préoccuper de rien.
Les mots... un si grand pouvoir. Celui qui contrôle les mots contrôle le monde.

Tout oublier, faire le vide et tout simplement se lâcher.
Encore un jour de plus dans la peau de notre héros.

Comme chaque soir, il ne sait pas trop quoi faire.
Il se dit qu'il est temps de s'y mettre, de se lancer.
Sauf qu'il n'a jamais aucune idées, alors il s'assoit et attend. Et il attend.
C'est comme ça depuis tout le temps.
Il réfléchit, sur des choses importantes.
Ou pas.

L'utilité de l'art.
L'abrutissement incessant de la masse qui n'en demande pas plus.
Le sens de sa vie.
Pourquoi Clark Kent a des lunettes moches.
Le ciel.
La nécessitée de l'art.
Chaque jour, il ajoute des détails ou en enlève. Un nouveau personnage, une fille, un garçon. Tous participant a sa propre création perpétuelle et infinie.
A son embellissement pathétique et pourtant si passionnant.
Notre livre sans fin.

Il découvre. Toujours et encore, a son rythme.

La, il aime bien une fille. Il ne l'a connait pas.
De tempérament timide il s'étonne lui même. Comment diable peut il apprécier une fille sans la connaitre? Lui qui normalement s'entiche d'une fille en la découvrant au fur et a mesure, pour finir aveugle, avec un plug dans le cul.

Peuhloc.
C'est le bruit que ça fait, et ça fait mal.

Donc oui, il aime la regarder, l'écouter au loin.
Plus fou encore, croyez le, il est allé lui parler a l'improviste. Juste comme ça, sans raisons, il s'est demandé si il était fou.
Peut être que la folie est la seule solution pour se remettre dans le droit chemin.
Bref, il ne sait pas trop quoi en penser. Un peu triste, heureux en même temps.
Il reste encore du chemin.
Et il se dit qu'il trouve bien tout ça lamentable, mais encore, il aime ça, ce changement relatif.
En fait, il jubile.

Bruit, rythme, bouger
se laisser emporter
sans ne plus jamais se soucier
s'enfermer dans sa bulle
seul lieu ou les rêves sont permis
ou la réalité n'a pas de sens
ou la réalité prend tout son sens
ou tout simplement s'arrêter
pour ne plus jamais y penser.
Ou pas.

Monday, April 14, 2008

 

What lies behind us is just light in our minds.

La vie est courte... Je trouve toujours cette phrase drôle.
Croyez le ou pas, j'ai encore perdu un jour.
Il m'en reste des milliers.

Je vais donc regarder en avant et ne pas m'occuper du passé. Le passé a fait ce que je suis, à moi d'utiliser le futur pour faire ce que je veux.

Allez, je me dis ça tout le temps, avec notre rétroviseur greffé indissociable de notre belle espèce. Cette fois ci, j'y crois.

Tous les jours, on a la chance d'être différent, alors profitons en :)

Croyez le ou pas, ce soir, je vais rêver d'un ciel étoilé...

Friday, April 11, 2008

 

Battlefield

Seulement un an après leur dernier album naphtaline qui donnait une véritable expérience sonore et visuelle unique, le groupe tourangeaux EZ3kiel nous livre ici son cinquième album. Encore une fois, on peut dire qu'EZ3kiel surprend, étonne et finalement conquiert. Fort de sa réputation maintenant mondiale dans la scène electro-dub, le groupe n'a cessé depuis leur premier album d'évoluer vers un style qui leur est maintenant propre mélangeant morceaux acoustiques calmes et morceaux électriques renversants.

Qui aurait pu croire qu'a la suite de naphtaline, fable féerique et poétiquement mélancolique, le groupe nous livrerait un album si ténébreux ? Cependant c'est avec surprise que naphtaline et Battlefield forment une suite parfaite, une continuité sans défauts. Les analogies toujours sensées du groupe se révèlent là encore une réussite, entrez donc avec moi dans ce champ de bataille apocalyptique... Jules n'a qu'à bien se tenir.

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Tuesday, April 08, 2008

 

Antennas to heaven.

Je sais pas vous, mais moi, j'ai l'impression d'être Dieu. Oui, carrément.
Palmer Eldricht, Bloodmoney, Dark Vador, vous voyez, ce genre la. Chassez juste l'intrus.
Donc la vous devez vous dire "non mais la il craque le merdeux?". Et bien non, n'écoutez pas.

Pourquoi? C'est tout simple, on est maitre de soi même. Nos décisions, même si on les regrette, partent toujours d'une volonté inconsciente. Une envie, un désir, une finalité. On peut être déçu de soi même, croyez moi, sur le moment, on est a fond. On peut ne pas s'aimer après ça, ça peut se comprendre. Personnellement, j'apprends toujours quelque chose de plus a mon sujet, et ne rigolez pas, ça vaut tout l'or du monde.

Pour garder la tête haute, je me suis toujours dis que je serai grand, que je réaliserai quelque chose de très grand. Changer le monde, a jamais. Le mien, évidemment.
Le votre, aussi.

Vous savez, ne rigolez pas mais, être fier de la moindre choses que l'on fait, je trouve ça génial. Qu'elle soit infime, insignifiante, ridicule, osée, borderline ou que sais je encore (ou pas d'ailleurs), tout compte. Tout. Oui oui. (craque)

Donc dernièrement, j'écris (dans ma tête) des plans. Limite un scénario, le meilleur qui soit, la meilleure histoire. Moi, réalisant quelque chose pour moi, pour toucher les autres, vous savez, qu'ils ressentent quelque chose, qu'ils reflechissent, qu'ils ne comprennent pas (une des meilleure récompense)(sisi). Je me dis toujours, (rien a voir mais bon) que la non compréhension de quelque chose est la plus belle des chose. Je m'explique, ne rigolez pas, mais vous savez, regarder un tableau par exemple? Vous êtes la, les couleurs, les formes, même si ça ressemble a un gros étron, ou que sais je encore (la encore, ou pas). Vous êtes touche, vous vous evadez, vous ressentez quelque chose de fort, une envie de symbiose avec l'œuvre. Moi en tout cas, ça m'arrive de bander, ne rigolez pas, mais vous savez, ça peut arriver. Ne soyez donc pas dégueulasse a vous imaginer que je me paluche en hop, orgasme sur une œuvre. Bien que ça puisse m'arriver si je suis in the mood, sur la bonne musique par exemple, mais différent, je vous laisse réfléchir. Indice : ou pas. La normalement, vous êtes ravi d'apprendre ce détail croustillant.
Donc ou en étais-je. Ha oui. Ne pas comprendre. J'ai remarque que quand je me demande "mais what the fuck (carrément.), que diantre cet auteur a t'il voulu nous montrer, avec cette innommable infamie ? Bah ça veut tout simplement dire que, ne rigolez pas, vous aimez vraiment pas. Pire, vous avez envie de vomir, ou même encore, l'accrocher dans vos chiottes pour chier dessus a jamais. Et c'est louable. (dans une certaine mesure, évidemment.). C'est aussi une très bonne chose.
BREF FIN DE L'APARTÉ. Juste pour vous dire que bref, ça s'explique pas facilement en fait ces conneries. Bref bis, je vous emmerde encore.

Oui je disais, j'écris des grands plans, j'aspire a un devenir proche, toujours proche, mais qui est en fait est lointain, bordel de couille de taureau. Bref.
J'aimerais écrire un roman ou une nouvelle. Finalement écrire la plus grande histoire jamais écrite.
J'aimerais faire du piano, du violon, du violoncelle, de la violle, composer, faire du turntablism. Faire bouger les gens, physiquement ou mentalement, leur faire sentir ce que quelques groupes me font sentir. En fait, je sens plus rien, je suis ailleurs, sur un montre monde, mort, vivant. D-Liss, je t'aime.
J'aimerais faire de la photo. Capturer un moment pour l'éternité.
J'aimerais faire un film. Que des gens se posent des questions a jamais.
J'aimerais le fait que j'aimerais tout ça.
Ne rigolez pas, je suis sérieux.
J'aimerais être fier, j'aimerais toucher les gens.
J'aimerais vivre toute ma vie avec des artistes, partager leur passion, leur sentiments, leur façon de voir les choses.
J'aimerais qu'on me comprenne.
J'aimerais qu'on ne me comprenne pas.
J'aimerais, ne rigolez pas, être Dieu. Mais je le suis déjà.

Au fond, on est tous Dieu. Notre dieu, vivant dans un monde avec d'autres Dieu, semblable, tous les mêmes, avec les mêmes problèmes, photocopies de photocopies comme dirait mon ami chuck.

Allez, ne rigolez pas mais, un jour, je me lancerai. Le grand saut, finalement, quand je me sortirai les doigts du cul.
Trouver sa voie.
Trouver le moment, et pour l'éternité, le vivre a jamais.
Ne rigolez pas.

Sunday, April 06, 2008

 

Self esteem



Pour d'obscures raisons, je commence a avoir plus de confiance en moi.
Les gens autour m'aident a ca faut dire! Genre hier soir, une fille cool/sympa/intelligente/et en plus belle m'a donne une bonne dose de confiance, ça faisait longtemps!

Je sais pas d'où ça vient. En tout cas, ça revient de très loin.

Je me découvre un peu finalement. Je tâte, j'observe un peu.
C'est encore loin d'être finalement accompli mais je désespère pas, y'a du progrès.

En fait je suis arrivé a trouver des gens qui m'ont donne la motivation d'un peu me bouger et d'arrêter de vivre un peu dans ma haute sphère. Non pas que je n'aimais pas ma situation d'avant, bien au contraire (c'est ce que je me dis en tout cas pour garder la tête haute), mais j'aime un peu ce qui se passe en ce moment. J'en profite car il le faut, 90% de ces gens partent bientôt. Il reste un mois!

Je réalise que c'est probablement le premier billet d'humeur 100% positif sur ce qui se passe en ce moment dans ma vie extraordinaire. Génial non?

En tout cas quand je compare un peu ma vie a ce qu'elle était avant, je n'arrive même pas a savoir par quoi commencer.
Je me cache plus derrière le miroir. Il me reflète finalement. Pas encore entièrement certes mais une chose en son temps!
Soirées sur soirées et on en redemande toujours, même si certaines sont un peu floues en ce qui concerne les souvenirs :p Le pire c'est que je me force plus maintenant :)

Bref, ça se réveille la dedans, et c'est probablement pour le pire ou le meilleur.

Vous remarquerez qu'il n'y a aucuns accents sur les a, c'est pas une faute volontaire mais c'est juste que j'ai la flemme de trouver le a accent sur ce putain de clavier.
D'ailleurs j'ai aucunes raisons de m'expliquer et je vous emmerde tous.

Yay! <3

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