Tuesday, April 08, 2008

 

Antennas to heaven.

Je sais pas vous, mais moi, j'ai l'impression d'être Dieu. Oui, carrément.
Palmer Eldricht, Bloodmoney, Dark Vador, vous voyez, ce genre la. Chassez juste l'intrus.
Donc la vous devez vous dire "non mais la il craque le merdeux?". Et bien non, n'écoutez pas.

Pourquoi? C'est tout simple, on est maitre de soi même. Nos décisions, même si on les regrette, partent toujours d'une volonté inconsciente. Une envie, un désir, une finalité. On peut être déçu de soi même, croyez moi, sur le moment, on est a fond. On peut ne pas s'aimer après ça, ça peut se comprendre. Personnellement, j'apprends toujours quelque chose de plus a mon sujet, et ne rigolez pas, ça vaut tout l'or du monde.

Pour garder la tête haute, je me suis toujours dis que je serai grand, que je réaliserai quelque chose de très grand. Changer le monde, a jamais. Le mien, évidemment.
Le votre, aussi.

Vous savez, ne rigolez pas mais, être fier de la moindre choses que l'on fait, je trouve ça génial. Qu'elle soit infime, insignifiante, ridicule, osée, borderline ou que sais je encore (ou pas d'ailleurs), tout compte. Tout. Oui oui. (craque)

Donc dernièrement, j'écris (dans ma tête) des plans. Limite un scénario, le meilleur qui soit, la meilleure histoire. Moi, réalisant quelque chose pour moi, pour toucher les autres, vous savez, qu'ils ressentent quelque chose, qu'ils reflechissent, qu'ils ne comprennent pas (une des meilleure récompense)(sisi). Je me dis toujours, (rien a voir mais bon) que la non compréhension de quelque chose est la plus belle des chose. Je m'explique, ne rigolez pas, mais vous savez, regarder un tableau par exemple? Vous êtes la, les couleurs, les formes, même si ça ressemble a un gros étron, ou que sais je encore (la encore, ou pas). Vous êtes touche, vous vous evadez, vous ressentez quelque chose de fort, une envie de symbiose avec l'œuvre. Moi en tout cas, ça m'arrive de bander, ne rigolez pas, mais vous savez, ça peut arriver. Ne soyez donc pas dégueulasse a vous imaginer que je me paluche en hop, orgasme sur une œuvre. Bien que ça puisse m'arriver si je suis in the mood, sur la bonne musique par exemple, mais différent, je vous laisse réfléchir. Indice : ou pas. La normalement, vous êtes ravi d'apprendre ce détail croustillant.
Donc ou en étais-je. Ha oui. Ne pas comprendre. J'ai remarque que quand je me demande "mais what the fuck (carrément.), que diantre cet auteur a t'il voulu nous montrer, avec cette innommable infamie ? Bah ça veut tout simplement dire que, ne rigolez pas, vous aimez vraiment pas. Pire, vous avez envie de vomir, ou même encore, l'accrocher dans vos chiottes pour chier dessus a jamais. Et c'est louable. (dans une certaine mesure, évidemment.). C'est aussi une très bonne chose.
BREF FIN DE L'APARTÉ. Juste pour vous dire que bref, ça s'explique pas facilement en fait ces conneries. Bref bis, je vous emmerde encore.

Oui je disais, j'écris des grands plans, j'aspire a un devenir proche, toujours proche, mais qui est en fait est lointain, bordel de couille de taureau. Bref.
J'aimerais écrire un roman ou une nouvelle. Finalement écrire la plus grande histoire jamais écrite.
J'aimerais faire du piano, du violon, du violoncelle, de la violle, composer, faire du turntablism. Faire bouger les gens, physiquement ou mentalement, leur faire sentir ce que quelques groupes me font sentir. En fait, je sens plus rien, je suis ailleurs, sur un montre monde, mort, vivant. D-Liss, je t'aime.
J'aimerais faire de la photo. Capturer un moment pour l'éternité.
J'aimerais faire un film. Que des gens se posent des questions a jamais.
J'aimerais le fait que j'aimerais tout ça.
Ne rigolez pas, je suis sérieux.
J'aimerais être fier, j'aimerais toucher les gens.
J'aimerais vivre toute ma vie avec des artistes, partager leur passion, leur sentiments, leur façon de voir les choses.
J'aimerais qu'on me comprenne.
J'aimerais qu'on ne me comprenne pas.
J'aimerais, ne rigolez pas, être Dieu. Mais je le suis déjà.

Au fond, on est tous Dieu. Notre dieu, vivant dans un monde avec d'autres Dieu, semblable, tous les mêmes, avec les mêmes problèmes, photocopies de photocopies comme dirait mon ami chuck.

Allez, ne rigolez pas mais, un jour, je me lancerai. Le grand saut, finalement, quand je me sortirai les doigts du cul.
Trouver sa voie.
Trouver le moment, et pour l'éternité, le vivre a jamais.
Ne rigolez pas.

Comments:
9a y est, on l'a perdu...


Moi j'aimerai pvr transformer georges en carotte. Mais qui sait, p-e un jour.
 
Mais enfin, tu sais bien qu'il n'a rien qui court dans l'échine le georges.
Mais j'y penserai, carotte.
Je note. =)
 
ah oui et si tu pouvais me rapporter des lunettes de soleil de kwalalumpur aussi.
merci
 
Je ne rigole pas. Quoique si.
Je te comprends... ou pas :).
 
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